Les Diférent RP des membres de l'AN

The best diplomate of the world Messages : 412 Date d'inscription : 28/07/2008

Wyrd fut élevé par trois femmes. Urd, Verdandi et Skuld. Il grandit sous le grand arbre Yggdrasil. Un jour Surt vint les voir et leurs proposa d'envoyer Wyrd sur le territoire Scytä. Il lui dit : « Va sur Scytä. Trouve Geri et Freki les deux loups d'Odin ainsi que Hugin et Munin ses deux corbeaux. Ils te donneront la puissance suffisante pour vaincre Fenrir et Jörmungand les fils de Loki. Tu incarneras un de ces petit être qui on créé Mjöllnir ou Draupnir. Ils pourront peut être te recréer le collier de Freyia (Gleipnir) qui est capable de retenir Fenrir. Va et tes mères tisseront ton destin ».

Et c'est ainsi que commença le voyage de Wyrd...

Bien plus tard Wyrd eu un fils qui le questionna sur un sujet bien spécial :
Papa, pourquoi tu tues de orcs ?”
C'est vrai ça, pourquoi tuait-il des orcs ?
Voilà une question à laquelle Wyrd était bien incapable de répondre...
Sans doute parce que ça avait toujours été ainsi et qu'il n'avait jamais cherché à faire autrement, pas plus que tous les autres habitants du reste du royaume.
Pourtant, en y réfléchissant bien, il n’avait aucune raison particulière de combattre contre les Orcs. Et en y réfléchissant bien il n’avait aucune raison de combattre une race plus d’une autre. Et justement, Wyrd savait exactement pourquoi il voulait se battre.
Certainement pas pour servir les querelles personnelles de personnages haut-placés qui se souciaient peu des soucis d'un nain lambda comme lui !
C'était décidé : Wyrd réunit ses amis susceptibles d'accepter sa proposition : revendiquer un territoire neutre, indépendant de tout royaume. Pour enfin vivre libre et ne peut avoir à suivre les ordres de leurs Rois
Pas de doute, si les dieux étaient avec lui, rien ni personne n'empêcherait les choses de se mettre en place ! Wyrd se mit donc en route pour faire part au souverains de sa résolution et recruter le plus de combattants possible.
Et avant de sortir, il offrit en récompense une pleine pinte de bière à son fils dont la question naïve allait faire sa fortune.